Il s'agit du projet de "surveillance de la productivité des terres et de l'eau par télédétection (phase 2)" en collaboration avec le gouvernement néerlandais, le projet "d'amélioration de la productivité de l'eau dans l'agriculture" en collaboration avec le gouvernement japonais et le projet de " modernisation des technologies d'irrigation pour améliorer les moyens de subsistance des petits agriculteurs en Haute-Égypte" en partenariat avec le gouvernement néerlandais.

Dans une allocution de circonstance, M. Sweilam a remercié le Japon et les Pays-Bas pour le financement des trois projets et la FAO, étant un partenaire exécutif desdits projets importants qui visent à moderniser les systèmes d'irrigation, améliorer la productivité de l'eau et soutenir les jeunes agriculteurs.

Ces projets, a-t-il précisé, sont en harmonie avec la stratégie du ministère de l'Eau pour étendre l'irrigation moderne dans le cadre des études scientifiques intégrées ciblant la rationalisation de l'eau.

De son côté, l'ambassadeur de Japon au Caire, Oka Hiroshi a loué la longue histoire de coopération entre l'Egypte et le Japon dans le domaine de l'eau via plusieurs projets avec en tête le projet de construction du nouveau barrage Dairout et les projets de réhabilitation des barrages construits sur Bahr Yousof.

Le représentant de l'ambassadeur des Pays-Bas en Egypte s'est félicité de la longue histoire reliant les deux pays dans le domaine hydrique, laquelle remonte aux années 70, date de création du conseil consultatif égypto-néerlandais, tout en soulignant l'importance des projets de l'irrigation moderne pour générer des emplois pour les femmes et les jeunes, rationaliser la consommation de l'eau et réaliser la sécurité alimentaire surtout au vu des défis que l'Egypte relève dans le domaine hydrique.