01 avril 2023 06:11

La Réconciliation palestinienne

dimanche، 26 juin 2016 - 02:13

Index

Introduction Premièrement: l'Egypte et la question palestinienne .. étapes historiques.
Deuxièmement: l'Egypte et la réconciliation palestinienne ..Test après la révolution de Janvier
Troisièmement: L'avenir de l'accord de réconciliation palestinienne.
Quatrièmement: L'accord de réconciliation palestinienne et le rôle régional de l'Egypte


La réconciliation palestinienne

Premièrement des stations historiques
On peut dire que l'accord de la Réconciliation nationale palestinienne constitue l'une des stations éminentes dans les efforts égyptiens déployés en faveur de renforcer la Cause palestinienne.

Les efforts égyptiens ont commencé dans une étape prématurée de la Cause palestinienne. Avant la Révolution de 1952, les événements en Palestine avaient attiré l'attention du mouvement national égyptien. L'Egypte était une partie importante dans les évènements, qui ont précédé la guerre de 1948. L'Armée égyptienne était à l'avant-garde des armées arabes qui ont participé à la guerre de 1948 afin de prévenir les massacres commis par Israël contre les Palestiniens dans le village de Deir Yassine.

Pourtant, l'Armée égyptienne a assumé une lourde charge dans la guerre contre les forces armées israéliennes.
Cette guerre a causé la mort et la blessure des milliers d'officiers égyptiens. Les positions égyptiennes de la Cause palestinienne et des ambitions israéliennes dans les eaux et les territoires arabes étaient la cause principale de la participation d'Israël dans l'Agression tripartite contre l'Egypte en 1956 et 1967. L'Egypte a déclenché, le 6 octobre 1973, une guerre contre Israël et a imposé le problème du conflit israélo-arabe sur la scène internationale. L'Egypte a commencé ensuite l'étape de la paix avec Israël, tout en soulignant l'Accord du Camp David en 1979, qui a frayé la voie devant la possibilité de parvenir à une paix globale dans la région.

Les formes du soutien historique de l'Egypte à la cause palestinienne se multiplient, ainsi que ses efforts étaient la cause principale de la reconnaissance internationale par la cause palestinienne et de sa transformation d'une simple question des réfugiés à une cause du peuple. Ces efforts ont apparu clairement dans les mouvements égyptiens dans les différentes instances arabes et internationales.

Au niveau arabe : L'Egypte a adopté la première résolution arabe concernant l'indépendance de la Palestine, lors de la réunion du comité préparatif de la Conférence générale sur la fondation de la Ligue arabe en Octobre 1944.
En mai 1946: L'Egypte a accueilli la 1ère conférence arabe, qui a confirmé que la Cause palestinienne est celle de tous les pays arabes.

En 1959: L'Egypte a soumis une présentation importante concernant la représentation palestinienne à la Ligue arabe, ce qui a donné à la cause palestinienne un nouvel essor.

En 1962: L'Egypte a été la première à appeler à l'établissement d'un Etat palestinien indépendant et à soutenir la déclaration constitutionnelle palestinienne, stipulant la formation des autorités législatives, exécutives et judiciaires dans la bande de Gaza, que le gouvernement palestinien a choisi comme son siège principal.

En 1964 : L'Egypte a accueilli la 1ère conférence arabe en tant qu'une réponse immédiate au projet israélien, visant à dévier le courant du Jourdan. Elle a également proposé la fondation de l'Organisation de la libération Palestinienne (OLP) et son soutien en tant que représentant légitime du peuple palestinien dans les instances internationales.

En Septembre 1972 : Le président défunt Anouar El Sadate a proposé la formation d'un gouvernement palestinien provisoire afin de répondre aux dires de Golda Maïr, prétendant que le peuple palestinien n'existe plus.

En Novembre 1973: Lors du 6ème Sommet arabe à Alger, l'Egypte a réussi à inciter les Etats arabes à reconnaître l'OLP comme seul porte-parole légitime du peuple palestinien.

En Octobre 1974: Lors du 7ème Sommet à Rabat, l'Egypte et les Etats arabes ont confirmé le droit du peuple palestinien à établir une autorité nationale indépendante ayant en tête l'OLP, représentant légitime du peuple palestinien.
Au niveau africain : En Janvier 1961: Lors du Sommet africain, tenu à Casablanca, l'Egypte a déclaré qu'elle protège le protège le portail est du Continent africain des ambitions israéliennes et a exhorté les Etats africains à freiner ces ambitions, et à parvenir à un règlement à la cause palestinienne, conformément aux résolutions de l'ONU.
Au niveau des pays non-alignés : En 1955 : L'Egypte a joué un rôle pionnier à la Conférence de Bandoeng pour défendre la Cause palestinienne.
Au niveau international : En Novembre 1974: Grâce aux efforts égyptiens, l'Assemblée générale a émis la résolution 3236, confirmant les droits du peuple palestinien, y inclus l'autodétermination, l'indépendance et le retour des réfugiés.
En Octobre 1975: Grâce aux efforts égyptiens, l'Assemblée générale des NU a émis la résolution 3375, appelant l'OLP à participer aux conférences sur le Moyen-Orient, tenues sous les auspices de l'ONU.

En Janvier 1976: Dans le cadre des efforts déployés pour la reprise de la Conférence de Genève sur la Paix, l'Egypte a demandé aux chefs de la diplomatie américaine et soviétique, étant les présidents de cette instance, de faire appel à l'OLP pour y prendre part.
En Mai et en Octobre 1976: Grâce aux efforts égyptiens, le Conseil de Sécurité a émis 2 communiqués, accusant les politiques et les exercices israéliens dans les territoires occupés, qui entravent les efforts de la paix.
En Novembre 1977 : L'Egypte a invité l'OLP à la réunion préparatoire, pour la reprise de la Conférence de Genève sur la Paix.
En janvier 1978: Lors des entretiens Sadate-Carter à Assouan, la diplomatie égyptienne a réussi à faire changer la position américaine officielle pour reconnaître les droits légitimes des Palestiniens.
Le 26 mars 1979: Signature de deux documents à Camp David concernant l'autonomie palestinienne et l'accord de paix égypto-israélien.

En Décembre 1988: Grâce aux efforts égyptiens, Les Etats-Unis décident de s'entretenir avec l'OLP.
Le 13 septembre 1993: L'Egypte a contribué à la signature du Traité d'Oslo entre les Palestiniens et les Israéliens, stipulant que les négociations visent à établir une autorité palestinienne élue dans un délai de 5 ans, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité.
Le 27 août 1995: Signature des protocoles du Caire, attribuant certaines prérogatives à l'autorité palestinienne.
Le 15 janvier 1997: Grâce aux efforts de l'Egypte, l'Accord de Galilée a été signé sur le cadre général des préparatifs sécuritaires à Galilée, et les étapes suivantes de redéploiement.
Le 9 décembre 1997: L'Egypte a contribué à l'initiative appelant à rehausser la représentation palestinienne auprès de l'ONU, pour attribuer à l'OLP plus de prérogatives et de liberté d'action.
Le 21 mai 1998: L'Egypte et la France proposent la tenue d'une conférence internationale pour sauver le processus de paix, sans la présence des 2 côtés palestinien et israélien.
Le 5 septembre 1999: L'Egypte a été l'hôte de la Conférence de Charm El Cheikh sur la signature d'une note d'entente, relative aux mécanismes de la mise en œuvre de l'Accord de Wye Plantation.
Le 18 octobre 2002: L'Egypte a contribué aux efforts, menant à la Feuille de route, adoptée par le comité quadripartite. Cette Feuille comprend une vision globale pour régler la cause palestinienne et proclamer l'Etat palestinien en 2005.
Le 1 décembre 2003: L'Egypte a favorablement accueilli la Charte non-officielle de Genève entre les Palestiniens et les Israéliens, étant un exemple équilibré de paix qui ne s'oppose pas à la Feuille de route et qui met a priori El-Qods (Jérusalem), les refugiés, les frontières et les colonies.

Outre au soutien politique et diplomatique continu jusqu'à nos jours, l'Egypte a fourni les aides financières et humaines nécessaires au peuple palestinien, y compris : les programmes de formation, la fourniture de la bande de Gaza par l'électricité et l'installation des condensateurs de tension sur les lignes électriques, étendues de la ville égyptienne de Rafah à celle palestinienne afin de satisfaire aux besoins de nos frères palestiniens assiégés dans la bande de Gaza. L'Egypte a également contribué à augmenter le niveau scientifique et technologique des Palestiniens, tout en recevant les étudiants palestiniens dans les différentes universités égyptiennes.

Deuxièmement : L'Egypte et la réconciliation palestinienne
La signature de la réconciliation nationale palestinienne constitue le fruit des efforts égyptiens déployés en faveur d'unifier les rangs du peuple palestinien.
Les deux étapes des efforts égyptiens déployés dans ce domaine :

La 1ère étape : De 2002 à 2007 :
Le Caire avait accueilli au cours de cette période plusieurs rounds du dialogue inter-palestinien, visant à combler la lacune, à arranger la maison palestinienne de l'intérieur et à réaliser l'entente nationale de manière à permettre le commencement de la mise en œuvre de la feuille de route. Les différents rounds de ce dialogue avaient été tenus en présence de 13 délégations, représentant les différentes factions palestiniennes, y compris : Fatah, Hamas, le Front populaire palestinien, le Front démocratique palestinien, le Comité Central du Front populaire pour la Libération de la Palestine et le Parti du peuple palestinien.

Ce dialogue vise à élaborer un programme politique unifié entre toutes les factions palestiniennes, basant sur le choix de l'Autorité palestinienne afin d'entamer les négociations avec Israël sur les problèmes vitaux, y compris : l'Accord du cessez-le-feu, la non-tentative des factions palestiniennes d'adopter des décisions unilatérales, le soutien de l'Autorité palestinienne et la reconstruction des différentes institutions de l'OLP.

L'Egypte s'est attachée à travers ce dialogue à parvenir à un consensus national, notamment à la lumière des défis actuels auxquels fait face la Cause palestinienne et à informer les factions palestiniennes qu'elles ne constituent pas un substitut à l'Autorité palestinienne, et qu'elles doivent unifier leurs visions de manière à obliger les superpuissances internationales d'accorder un grand intérêt au processus de paix au Moyen-Orient.

La deuxième étape : Cette étape a commencé, le 30 août 2008, et vise à unifier les rangs palestiniens, vue la grande division survenue entre les deux mouvements de Fatah et Hamas après les élections de 2006, remportées par Hamas. Cette division a atteint son apogée en juin 2007, lorsque Hamas s'est emparé de la bande de Gaza après des affrontements armés avec les forces sécuritaires partisanes au mouvement de Fatah.

Ces affrontements ont été suivis par la signature de l'accord de Mecque en 2007, qui s'est effondré en raison de l'insistance d'Israël et de l'Occident à rejeter tout traitement avec le mouvement du Hamas, qui refuse de reconnaître Israël. Cet effondrement a donné aux Israéliens un prétexte pour ralentir le processus de paix et a mené à la détérioration de la position de la Cause palestinienne dans le monde.

Le 22 octobre 2008 : Vue la gravité de la situation dans les territoires palestiniens, l'Egypte a présenté une feuille du dialogue approfondi entre les différentes organisations palestiniennes concernant la formation d'un gouvernement du consensus national, comprenant les idées relatives à l'OLP et la participation de tous les Palestiniens dans cette organisation, considérée comme le seul représentant légitime du peuple palestinien. Tout au long de la période des négociations, l'Egypte a joué un rôle actif dans la réconciliation entre les deux parties. L'Accord de réconciliation a compris 4 articles, à savoir : la reconstruction de l'OLP, la tenue des élections, les différentes procédures de la réconciliation, les services de sécurité et un pacte d'honneur intérieur palestinien.

Dans le cadre de cette initiative, l'Egypte a accueilli un dialogue national, qui avait commencé par la participation de toutes les factions palestiniennes, mais en raison de la séparation de la bande de Gaza et de la Cisjordanie et de la détérioration des relations entre les deux mouvements de Fatah et Hamas, les négociations se poursuivent seulement entre ces deux mouvements.
Les premières séances du dialogue national ont commencé le 26 février 2009 en présence de toutes les factions palestiniennes et les forces indépendantes après un jour de la signature d'un accord entre Fatah et Hamas, stipulant l'engagement de l'arrêt total des campagnes médiatiques entre les deux mouvements avec le début des séances du dialogue global, la suspension des arrestations en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, et la poursuite des procédures de la libération des détenus des deux côtés.

5 séances du dialogue national ont eu lieu en 2009, à savoir : les 2ème et 3ème séances ont eu lieu le 10 mars et le 1er avril 2009, afin d'achever les négociations sur les problèmes litigieux restant, y compris : la formation du gouvernement, l'élaboration de son programme politique, la sécurité, la participation à l'OLP et la loi électorale. Les 4ème et 5ème séances ont eu lieu, le 27 avril et le 16 mai 2009, afin d'examiner les dossiers du gouvernement, de la sécurité et des élections.
Au cours de la 6ème séance, qui a eu lieu, le 28 juin 2009, l'Egypte a proposé certains compromis pour les problèmes en suspens, y compris : le système électoral et la formation des forces sécuritaires communes, soutenues par les pays arabes, en tant qu'étape préliminaire pour tenir les élections. Vue le désaccord sur les problèmes clés entre les factions palestiniennes, l'Egypte a décidé de reporter la 7ème séance du dialogue national.

Les attitudes de ceux-ci venaient à la lumière des responsabilités historiques de l'Egypte envers la cause palestinienne, et de rencontrer les intérêts de la stabilité nationale de l'Egypte dans l'arène palestinienne.
Chaque fois que les séances du dialogue national commencent à trébucher, l'Egypte a décidé de reporter le dialogue afin de fournir l'occasion aux deux mouvements Fatah et Hamas pour rapprocher leurs points de vue sur les problèmes litigieux. Partant de son attachement à poursuivre ses efforts, visant à combler la lacune entre les deux mouvements Fatah et Hamas et à parvenir à une solution aux problèmes litigieux, l'Egypte a annoncé la poursuite des contacts effectués par sa délégation sécuritaire avec toutes les factions palestiniennes à Ramallah et à Damas.

En effet, la signature de l'Accord de réconciliation après un an et demi des négociations et 4 ans de division met l'accent sur plusieurs éléments, qui ont poussé les factions palestiniennes à accepter cet Accord, à savoir :
Premièrement : Le recul de l'influence de l'élément étranger sur la prise de décision palestinienne.
Deuxièmement: La détérioration de la situation palestinienne a mené à l'augmentation de la pression du peuple palestinien sur les différentes factions afin de mettre terme à la division nationale, notamment après les révolutions arabes, qui ont créé une nouvelle atmosphère positive, appelant à l'unification des positions arabes.
Troisièmement : L'avenir de l'accord de la réconciliation palestinienne L'accord de la réconciliation palestinienne sert assurément le projet de l'établissement d'un Etat palestinien surtout suite à la réaction internationale chaleureuse et surtout que la France a déclaré son approbation de reconnaitre l'Etat palestinien indépendant.

Cet accord comporte des clauses consolidant les chances de la formation d'un gouvernement d'unité nationale et la nomination des membres indépendants chargés de préparer les élections dans le courant de l'année, de superviser la résolution des questions de la réconciliation palestinienne interne résultant de l'état de division et de charger le gouvernement de suivre la reconstruction de la bande de Gaza, de mettre fin au siège, d'unifier les institutions de l'Autorité nationale en Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem.

L'accord stipule également la préparation des élections présidentielles, législatives et celle du Conseil national palestinien dans un délai d'un an à partir de la signature de l'accord national. En plus de la tenue, à nouveau, du conseil législatif palestinien, qui n'a pas été réuni dès la prise de la bande de Gaza par le mouvement de Hamas en 2007 et la formation d'une commission électorale par consensus et du haut comité de sécurité décrété par le président, composé d'officiers expérimentés d'un commun accord en tant qu'un pas vers la réforme des institutions sécuritaires travaillant sous ordre deux différentes administrations, l'accord énoncé, également, la libération des détenus politiques et la formation d'un comité chargé de superviser les listes des détenus et d'identifier la raison de leur arrestation.

Cet accord jouit des diverses garanties face aux défis tels: la consolidation égyptienne, arabe et international, l'expertise et les expériences tout en persuadant les factions palestiniennes que la réconciliation est la seule voie pour réaliser l'espoir et l'ambition du people palestinien. A ce stade, la prochaine phase exigera une coordination totale des deux parties concernant le situations politiques et pratiques et entre le reste des factions outre l'adoption d'un nouveau langage pour s'adresser à la région et au monde.

Bien que la mission primordiale soit la protection de la réconciliation palestinienne, pourtant, elle exigera rapidement un soutien arabe et des efforts politiques, médiatiques et financiers pour la sécurité interpalestinienne surtout que la proposition de l'annonce d'un Etat palestinien aux Nations Unies en Septembre 2011 exige un effort diplomatique collectif énorme.
Quatrièmement: L'accord de réconciliation palestinienne et le rôle régional de l'Egypte
La question de "la position régionale" a causé toujours un problème à traiter théoriquement ou pratiquement, il n'existe pas une définition précise de ce que l'on entend exactement par position régionale hormis la définition générale qui est relative à la capacité d'avoir un impact sur les réactions régionales.

Cette question a constitué une importance particulière pour l'Egypte et ce pour plusieurs raisons, dont le plus important: l'idée du rôle qui s'est transformé en un problématique historique, l'Egypte est un pays authentique, disposant d'un patrimoine culturel, elle a exercé ce rôle par force politique, culturelle et militaire dans différentes étapes historiques.
La question du rôle semble, toujours, important pour l'Egypte, vu sa situation géographique au cœur de la région, et elle est le pays le plus touché par ce qui se passe dans la région, y compris l'orientation des « forces extérieures » vers elle, ainsi que les « forces régionales » pour cibler parfois sa position.

D'autre part, l'Egypte est également le pays le plus capable d'influer sur la plupart des réactions régionales, donc l'option d'être isoler ou se confiner à l'intérieur de la frontière n'était pas conçu en tant que stratégie escompté.
Le rôle de l'Egypte a contribué à soutenir sa capacité pour maintenir la sécurité nationale, la stabilité politique et la croissance économique, en plus du rétrécissement des influences négatives qui pourraient la menacer ou lui porter atteinte. Sa capacité d'influencer sur la région a représenté un élément important de force dans la gestion des relations internationales avec les grandes puissances dans le monde.

Dans ce contexte, une hypothèse prévaut, au cours des deux dernières décennies, que le rôle régional de l'Egypte a commencé à diminuer, en général ou pour le compte des "autres rôles.
C'est un problème qui a commencé depuis la fin des années soixante dix, et s'est intensifiée avec le temps, surtout que l'Egypte à commencer de prendre des positions concernant son estimation à l'égard de ses intérêts nationaux , et les tentatives faites par les différentes parties de la région et l'héritage du rôle égyptien à travers des politiques spécifiques essayant d'influencer l'intérieur de l'Egypte, en plus des changements dans les structures de pouvoir, les outils d'influence des pays arabes dans la région, et l'impact croissant du facteur international sur les interactions au Moyen-Orient.
Vu les conditions de la phase de transition que vécu actuellement l'Egypte et son agenda qui est surchargé par ses priorités, la signature de l' accord de réconciliation réaffirme, à nouveau, l'engagement de l'Egypte pour soutenir les questions arabes, en particulier la cause palestinienne, mais avec prudence, en s'accordant avec les exigences et les nécessités imposées par la reconstruction interne,

la poursuite de la corruption, et le traitement de l'effondrement économique, et la lutte contre l'anarchie ... etc, et cela sous réserve qu'une transition progressive du mécanisme de soutien direct en mécanisme d'une stratégique efficace aura lieu. Cet accord confirme également l'insistance de l'Egypte sur la reconstruction de l'intérieur par l'emploi réussi de la politique étrangère égyptienne à l'échelle arabo - régional et international.


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